Saulieu info 12/15/16

01 l artiste peintre verena von lichtenberg de paris et ses expositions d art dans les musees galeries dart des tableaux et oeuvres d art de la serie nl 1

 

 

L’exposition d’art ‘’Contraste’’ de l’Artiste Peintre Verena von Lichtenberg des peintures et des œuvres d’art de la série  ‘’Nord Licht’’ et ‘’Lumière Australe’’.

Dans le tumulte mystérieux de ses saisons, le Peintre Verena von Lichtenberg nous fait évoluer dans un autre vertige de ses toiles. Encore et toujours, au travers de sa propre technique du couteau, l'opposition entre noir et blanc, elle nous invite à pénétrer sa vision intime des possibles transformations du vivant. Le tout délicatement enveloppé d'une tendresse du vivant toujours présente. Rien est figée pour l'éternité dans son regard, bien au contraire. Elle a choisi « autrement » en prenant des chemins de ce qui existe, transposé par son imaginaire. Entre ses doigts, peindre le mouvement c'est être entre ce qui vient d'être et ce qui va devenir, des tranches de vie dans la matière qui est du temps et de l'espace.

 

Ses toiles sont au rebord de deux mondes: Nord Licht et Lumière Australe.

Chacun de ces mondes, l'un et l'autre, se dévoilent par l'empreinte du mouvement. Un langage picturale délicat, en pointillé racontant une histoire dont le mouvement puise son rythme à la même source. Le mouvement dans Nord Licht est sur deux plans : l'un s'allonge, s'étire telle des grandes voiles de nefs portées par des vents du renouveau dans ce monde noir, presque à l'abandon. L'image en devient vibration, élan.

Dans sa romance du Nord-Licht Verena ne cesse de recréer, réinventer, rééquilibrer les mondes dans le sombre et la lumière. Elle réinterroger l'essentiel : le mouvement. Ce mouvement qui la porte, la pousse encore et toujours à arpenter le vaste et puissant univers de son imaginaire, dans une poésie propre à elle. Son trait habite la matière, en couches délicates sur un noir brut. Elle en exploite toutes les dimensions, les pousse dans leur extrême sans nulle débordement de la surcharge.

 

Elle s'aventurer dans le sombre, le noir, l'absence  et rend visible la limite de la confrontation de l'impuissance du regard à pénétrer l'invisible, l'au-delà, le fini, la mort.

Mais les voiles s'offrent au vent d'ailleurs, élancées sur la toile, elles se gonflent, dansent dans cet espace, sans jamais se refermer sur elles-mêmes. Bien au contraire, dans un large déploiement, elles déchirent la toile offrant des perspectives d'une ouverture dans les deux sens, intérieur, extérieur.

Elle sème de minuscules, infiniment minuscules diamants neigeux, blanc immaculé sur le noir profond. Des étoiles tombées de l'espace en une multitude de graines de tendresse soyeuses, empreinte d'autres puissances dans cet espace inconnu dont on ne peut penser l'infini.

Elle invite à l'espérance en une aube neuve, à peine perceptible, mais il suffirait peut être de... Et s'anime une respiration nouvelle, le mystère du possible vient à nous par un, par deux, pas trois signes, un mouvement du trait qui retient notre attention et porte notre regard plus loin. Sur une autre toile les prémices d'une naissance, un lever de soleil rouge, rouge sang, comme la sève de la vie. L'espérance du renouveau.

 

La série Lumière astrale raconte un autre voyage. Une étrange rencontre du froid et de la solitude. Un monde ou le givre et le flocon vivent dans le silence humain du grand nord.

Un grand nord qui aurait pu avoir le pouvoir d'enfermer dans la glace pour l'éternité. Mais la magie du mouvement, le mystère du vivant est là. Issus des entrailles de la terre, trait noir sur blanc, se dessinent, dans l'infini espace blanc, des tronc majestueux s'élançant vers les astres, symbole du vivant. Dans un délié des corps d'une profonde délicatesse, au sein d'un monde de flocons neigeux, est donnée l'illusion d'un ballet de pas à deux, à trois évoluant dans un rythme de l'éternel ralentit.  Une séquence de pas dans une atmosphère de l'éternelle lumière lumineuse. Là, dans ce monde de la magie, les temps sont dans une autre dimension.

L'angoisse, le sombre n'a pas de prise.  L'on pourrait dire : vision de deux mondes, deux univers différents et l'un pourrait être la face opposée de l'autre : le sombre et le lumineux !

le Peintre Verena von Lichtenberg vous invite à partager la sensibilité, l'émotion rencontrés au travers des trajets de ses voyages. Elle vous ouvre une petite fenêtre, par sa peinture, à tout ce qui compose le vivant, fait de couleur et de musique, peuple de nos rêves, sans entrave, en laissant libre cour à l'imaginaire.