Le peintre Véréna von Lichtenberg nous invite à la rencontre d'un univers entre courbes et espaces, sans limite une exposition d'art à Carpentras.
Toutes ses œuvres nous transportent dans un monde au tempo puissant et intime. Le cheminement du regard effleure un imaginaire évoluant entre la tendresse du monde et son contraire, le limité, l'illimité, la douleur et la béatitude,
Le peintre Véréna Von Lichtenberg nous invite à la rencontre d'un univers entre courbes et espaces, sans limite.
Toutes ses œuvres nous transportent dans un monde au tempo puissant et intime. Le cheminement du regard effleure un imaginaire évoluant entre la tendresse du monde et son contraire, le limité, l'illimité, la douleur et la béatitude, le figé et l'expressif; formes et rythme portent son geste fort et harmonieux de peintre.
On se rapproche du secret de ses mondes.
Là se joue la mélodie des émotions.
Des taches posées telles des pétales de fleurs, des chemins, traces qui n'en finissent pas de se réinventer, de se projeter, et ce entre lumineux et terne, gris et blanc, et surgit, dans ces ombres et lumières, un signe magique, léger, par sa couleur puissante, forte dans ces paysages immenses, l'envol possible vers un ailleurs.
On plonge dans une architecture en opposition.
On évolue entre des arrondies, des ovales et des aiguës.
On rencontre de vastes anfractuosité et des plaines infinies telles des caresses et des déchirures qui peuplent cet univers, une eau transparente où l'on pourrait imaginer regarder la danse des mondes, d'antiques rêves venu des confins des temps jusqu'à nous.
Et toujours, quelque part, l'envol, unique, à part, dans l'interligne du temps et de l'espace.
La trace d'oser autrement, plus loin, au delà de ce jeu des regards.
Une fenêtre entrouverte sur la matrice des mondes, entre volupté et douleur
De son univers, qu'il soit aurore boréale ou nuit profonde, qu'il vienne du grand nord ou du grand sud, elle avance, sa peinture au bout des doigts.
Elle nous accompagne jusqu'au bout de la rencontre, dans ses fragments de temps entre féerique et mystique, enveloppés d'une harmonie presque charnelle, et elle seule donne la puissance des émotions.
le figé et l'expressif; formes et rythme portent son geste fort et harmonieux de peintre.
On se rapproche du secret de ses mondes.
Là se joue la mélodie des émotions.
Des taches posées telles des pétales de fleurs, des chemins, traces qui n'en finissent pas de se réinventer, de se projeter, et ce entre lumineux et terne, gris et blanc, et surgit, dans ces ombres et lumières, un signe magique, léger, par sa couleur puissante, forte dans ces paysages immenses, l'envol possible vers un ailleurs.
On plonge dans une architecture en opposition.
On évolue entre des arrondies, des ovales et des aiguës.
On rencontre de vastes anfractuosité et des plaines infinies telles des caresses et des déchirures qui peuplent cet univers, une eau transparente où l'on pourrait imaginer regarder la danse des mondes, d'antiques rêves venu des confins des temps jusqu'à nous.
Et toujours, quelque part, l'envol, unique, à part, dans l'interligne du temps et de l'espace.
La trace d'oser autrement, plus loin, au delà de ce jeu des regards.
Une fenêtre entrouverte sur la matrice des mondes, entre volupté et douleur
De son univers, qu'il soit aurore boréale ou nuit profonde, qu'il vienne du grand nord ou du grand sud, elle avance, sa peinture au bout des doigts.
Elle nous accompagne jusqu'au bout de la rencontre, dans ses fragments de temps entre féerique et mystique, enveloppés d'une harmonie presque charnelle, et elle seule donne la puissance des émotions.